La Z28 2013 était la Camaro de performance ultime lancée par Chevrolet sur le marché.
C’était un véhicule orienté piste. Elle était plus légère, plus rapide et plus bruyante que toute autre Camaro sur le marché.

Chevrolet avait une longue expérience dans la construction de voitures de course. Il a remporté tant de courses dans tant de catégories qu’il est difficile de dire où sont-ils les plus expérimentés. Le retour des icônes des muscle cars a apporté un sourire sur le visage du nœud papillon. Le Z28 a été amené à apporter un énorme sourire sur les visages des fans.

La Camaro Z28 comportait un tablier avant inférieur avec une grande lèvre avant. Toutes les ailes ont reçu un kit d’élargissement avec des sur-ailes subtiles pour accueillir les roues larges inhabituelles. La Z28 était équipée de pneus 305/30/ZR19 dans tous les virages. Bien que ceux-ci ne soient peut-être pas considérés comme trop larges pour l’essieu arrière, ils l’étaient sûrement pour l’avant. La garde au sol de 11 cm (4,3”) au niveau du séparateur avant n’était pas la partie la plus basse de la voiture. C’était le convertisseur catalytique, avec seulement une pièce de 90 mm (3,5”) au-dessus du tarmac. À l’arrière, une grande aile a été installée sur le couvercle du coffre pour exercer une certaine pression à grande vitesse.

À l’intérieur, la Z28 était basique, mais avec des sièges baquets sport. De série, il était équipé d’un haut-parleur pour le rappel de ceinture de sécurité, et… c’était tout. La climatisation et la chaîne stéréo étaient en option. Sur la liste des options figurait également la roue de secours. Au moins, il y avait quatre sièges à l’intérieur, mais le constructeur automobile a promis qu’ils sont faciles à retirer.

Sous le capot, il y avait un gros moteur V8 de 7,0 litres. Il était couplé à une boîte manuelle Tremec standard à 6 vitesses. À l’arrière, un différentiel à glissement limité a été installé pour gérer les 652 Nm (481 lb-pi) de couple. Les freins à disque Brembo en carbone-céramique étaient également de série.

Ce n’est pas nouveau que la Camaro a été bien appréciée au fil des ans.
Pour 2019, Chevrolet a repensé la Camaro et ajouté encore plus de technologie et d’options pour répondre aux besoins de chaque client.

Les principaux changements pour 2019 étaient les extrémités avant et arrière redessinées, les nouveaux phares à LED disponibles pour chaque modèle et un nouveau capot.

Une nouvelle version a été introduite, avec un moteur 4 cylindres de 2,0 litres développant 275 ch et 400 Nm. Ce moteur convenait principalement aux clients qui achetaient la Camaro pour son design extérieur musclé et magnifique plus que pour la puissance qui l’accompagnait.

La Camaro 2018 était disponible en coupé quatre places ou en cabriolet et proposait pas moins de 6 niveaux de finition : 1LS, 1LT, 2LT, 1SS, 2SS et ZL1.

Les deux premiers avaient un moteur turbocompressé de 2,0 litres standard, mais pouvaient éventuellement être équipés d’un moteur V6 de 3,6 litres plus puissant développant 335 ch.

Les niveaux de finition de base 1LS comprenaient des fonctionnalités standard telles que des alliages de 18 pouces, des feux de position à LED, une caméra de recul, un démarrage sans clé, des sièges avant à réglage électrique, des volants gainés de cuir et des modes de conduite réglables.

Sur le plan technologique, la Camaro était équipée du Bluetooth, du système d’urgence OnStar, d’une connectivité Wi-Fi 4G LTE et d’un écran tactile de 7 pouces avec Android Auto et AppleCar play inclus.

GM a enlevé ses gants et a lancé la Camaro ZL1 en tant que batteur de supercar; c’était le grand bagarreur qui est allé dans la rue, s’est battu avec un chevalier teutonique et l’a écrasé en quatre secondes ou moins.
Alors que le design rétro a conquis le cœur et l’argent des acheteurs de voitures américaines, les souvenirs des muscle-cars oubliées ont recommencé à se faire entendre. Cette fois, les muscle-cars modernes n’ont pas peur de la vitesse dans les virages et ne partagent pas leur suspension arrière avec une camionnette de livraison. Et, peut-être, plus important encore, ils ne semblent pas avoir été conçus pendant les pauses déjeuner.

La Camaro ZL1 était une version spéciale du célèbre coupé américain. À l’avant, il montrait un design de pare-chocs comme s’il souriait, mais c’était un sourire. Sa calandre étroite au-dessus du pare-chocs était prolongée sur le tablier inférieur par une large où le badge ZL1 se tenait petit dans le coin supérieur gauche. De ses côtés, la Camaro ZL1 présentait les mêmes panneaux de porte sculptés et des ailes et des panneaux de custode agrandis, mais à l’arrière, il y avait une nouvelle aile sur le coffre et quatre échappements chromés sous le pare-chocs.

À l’intérieur, les sièges baquets sport recouverts de suède et de surpiqûres contrastées promettaient un excellent maintien latéral. Cudos au constructeur automobile qui a pris à peu près la même considération pour la banquette arrière, même si elle pourrait utiliser des appuie-tête.

La vraie transformation était sous la carrosserie. La ZL1 était équipée d’un V-8 suralimenté qui envoyait 650 ch aux roues arrière via une boîte manuelle à six vitesses ou, en option, une automatique à dix vitesses. Sa suspension indépendante et ses freins Brembo l’ont transformée en une voiture prête pour la piste qui pourrait ébranler la sérénité d’une supercar italienne. Cette fois, il ne s’agissait pas seulement d’une course d’un quart de mile. Sa sœur, la ZL1 LE, a bouclé la piste du Nurburgring en 7m16s04”, ce qui en fait la Camaro la plus rapide de tous les temps.

La Camaro a pris d’assaut les portes du Salon de l’auto de Chicago 2011 avec sa version la plus performante à ce jour, la ZL1.
La Chevrolet Camaro s’efforçait de rester en tête du peloton avec la quatrième génération, mais son succès était limité. Puis, la crise financière mondiale est arrivée et a ruiné ses chances de se relancer. Heureusement, GM avait déjà prévu la cinquième suite de la saga Camaro, et c’était génial!

Son look rétro avec des phares ronds et des DRL à l’intérieur du carénage avant sous le capot avait l’air méchant. La large calandre sur le pare-chocs inférieur était noire quelle que soit la couleur de la voiture, et les antibrouillards montés sur le côté extérieur complétaient l’ensemble. Une prise d’air de type aspiration sur le capot fournissait plus d’air pour le gros moteur suralimenté. Sur les côtés, les grandes épaules au-dessus des ailes arrière semblaient musclées, comme un guépard avant de sauter par-dessus une prière.

À l’intérieur, les sièges baquets avant comportaient des badges ZL1 brochés sur les appuie-tête et des empiècements en suède en microfibre. D’autres améliorations comprenaient un volant redessiné, des pédales en alliage, un affichage tête haute avec des lectures de performances uniques et le système de jauge auxiliaire «quatre» avec lecture boost. Boston Acoustics a signé le système audio haut de gamme et un rétroviseur comportait un écran pour la caméra de recul.

Mais la ZL1 était impressionnante pour ses parties cachées. Chevrolet a installé un V8 de 550 ch sous le capot, qui transmettait la puissance aux roues arrière via une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports. Cette configuration pourrait propulser la voiture de zéro à 100 km/h (0-62 mph) en 4,1 secondes et 0,1 seconde plus rapide lorsqu’elle est équipée de la boîte automatique à 6 vitesses en option avec contrôle de lancement. Un différentiel à glissement limité a été utilisé pour gérer l’énorme couple, et les systèmes de freinage et de suspension prêts pour la course ont été installés de série.

La sixième génération de la Chevrolet Camaro a été introduite en mai 2015 au Belle Isle Park à Detroit, mais les ventes ont commencé plus tard cette année-là.
Il a été introduit avec trois choix de moteurs.

La Camaro a sa place dans la culture automobile américaine. Pour certains, c’est une voiture culte dont les racines remontent à l’ère des muscle cars. Pendant quelques décennies, son nom s’est estompé jusqu’en 2010 lorsque la cinquième génération est arrivée et a agité le marché des pony-cars.

De l’extérieur, la Camaro 2016 ressemblait au modèle 2010, avec un look rétro et des phares plus étroits. Par rapport à son prédécesseur, la sixième génération était plus courte, plus étroite et plus petite que son prédécesseur. Il était également plus léger de 91 kg (200 lb). Il était proposé en coupé et en cabriolet.

À l’intérieur, la Camaro a conservé le groupe d’instruments de style à double habitacle. Il comportait des cadrans analogiques et une option pour un écran central de 8 pouces qui pouvait fournir des informations supplémentaires, notamment des fonctions de navigation, de performances et d’infodivertissement. La console centrale et la console centrale étaient axées sur le conducteur.

Sous le capot, la Camaro était disponible avec trois choix de moteurs, à commencer par une unité turbocompressée à quatre cylindres, un V6 et le haut de gamme LT1, V8. La suspension comportait des jambes de force avant McPherson pour l’avant et un système à cinq bras pour l’arrière, avec Magnetic Ride Control disponible pour la version SS. Les freins Brembo étaient de série pour la SS et proposés en option pour les deux autres.

La Camaro ZL1 2017 n’était pas un loup en peau de mouton, mais plutôt un guépard sous une peau de loup.
C’était une performance à la hauteur de certaines supercars, mais cela ressemblait à un coupé.

Dans le monde des pony-cars, la Camaro avait sa place et son design rétro a fait un tabac dès son apparition sur le marché avec sa première génération en 2010. Mais la deuxième génération avec la version ZL1 était une véritable voiture de sport.

De l’extérieur, il n’y avait pas trop de fonctionnalités qui pourraient faire la différence. Mais un deuxième regard montrera une certaine attention aux détails aérodynamiques. La voiture avait été testée pendant 100 heures en soufflerie pour ajuster la forme déjà aérodynamique de la Camaro. Il y avait un nouveau capot, avec des inserts en fibre de carbone et des extracteurs de chaleur et des changements supplémentaires qui comprenaient un séparateur avant plus grand, des ailes avant plus larges et un aileron arrière de style aile.

Comme la voiture a été conçue pour la grande vitesse, l’intérieur a été aménagé en conséquence. Il comportait des sièges baquets sport Recaro avec un excellent soutien latéral. L’unité d’infodivertissement a reçu de nouvelles fonctionnalités qui pouvaient enregistrer un tour non seulement sous forme graphique mais aussi sous forme de vidéo via la caméra embarquée. Lorsque la voiture était en mode course et que le programme manuel de la transmission était engagé, un voyant de changement de vitesse s’affichait sur l’affichage tête haute.

Mais il ne fait aucun doute que le plus important se trouvait sous le capot. Un moteur suralimenté de 6,2 litres offrait 640 ch. Il était couplé à une transmission manuelle à 6 vitesses standard ou, en option, à une boîte automatique à 10 vitesses, développée conjointement avec Ford. Et le résultat final était une voiture sérieuse et rapide. Et contrairement à certaines muscle-cars, la Camaro pouvait tourner et tourner vite.

Chevrolet a présenté la gamme Camaro 2014 restylée au Salon de l’auto de New York 2013, avec un design extérieur révisé qui intègre une aérodynamique haute performance pour un refroidissement et une stabilité plus efficaces à haute vitesse.
Par rapport au modèle précédent, le design représente un fort changement visuel à l’avant et à l’arrière, ce qui se traduit par une apparence plus large, plus basse et plus contemporaine. Le carénage avant présente une ouverture inférieure plus large et une ouverture supérieure plus étroite qui met également à jour l’apparence des phares HID “halo ring” emblématiques de l’ensemble Camaro RS. L’évent de capot fonctionnel de la Camaro SS aide à réduire la chaleur et la portance aérodynamique. En se déplaçant vers l’arrière, le couvercle de coffre sculptural, les lampes horizontales et le diffuseur complètent la puissante déclaration. À l’intérieur, la Camaro Z/28 présente des garnitures dans une finition métallique mate distinctive appelée Octane, le volant à fond plat ZL1 et des sièges Recaro standard avec des empiècements en suède en microfibre. Les nouveaux sièges (également disponibles sur les versions coupé des modèles SS et ZL1), comportent des traversins agressifs pour une conduite haute performance, ainsi que des découpes de siège inspirées des harnais à cinq points que l’on trouve sur les sièges de course. Pour gagner du poids, les deux sièges avant intègrent un réglage manuel.

GM a décidé de frapper fort les Mustangs et les Challengers et a introduit la version SS pour la Camaro en 2010 et, à partir du quart de mile, il l’a fait.
Il y avait une nouvelle guerre de muscle-car entre les Big-Three de Detroit. Le département de conception de Chevrolet a fait un excellent travail en prenant la Camaro classique de 69 et en la transformant en un nouveau véhicule. Le design de style rétro a bien fonctionné, et bientôt le marché a été inondé de V-6 Camaros rugissant partout dans les rues. Mais les purs petrolheads ont dû attendre plus longtemps pour la version SS.

Bien que le service marketing ait fait un excellent travail en faisant la promotion de la Camaro dans le film Transformers, la véritable confirmation des performances de la voiture a été la Camaro SS à moteur LS3. Le département de conception a ajouté une prise d’air sur le capot surélevé et une calandre inférieure plus large dans le pare-chocs par rapport à la version V-6. Un jeu de bandes était disponible, mais les roues de 19 pouces étaient de série. À l’arrière, le constructeur a installé un séparateur plus large entre les deux échappements ronds.

À l’intérieur, Chevrolet a installé de beaux sièges en cuir de série et un système audio Boston Acoustic haut de gamme. Mais le plastique bon marché utilisé pour les portes, le tableau de bord et la console centrale a gâché le look de la voiture. Le design rétro utilisé pour les cadrans et les jauges aurait pu être mieux s’ils n’avaient pas été fabriqués avec des matériaux aussi bon marché.

GM a estimé que la plateforme serait la combinaison gagnante et attirerait le plus d’acheteurs. Pour cela, elle proposait la SS en deux versions : manuelle et automatique. Un moteur LS3 de 426 ch alimentait le premier, tandis que le second comportait une unité L99 de 400 ch. Pour la transmission automatique, Chevrolet a opté pour une boîte de vitesses Aisin à six rapports. Les deux versions comportaient une suspension indépendante dans tous les virages et des freins Brembo améliorés à quatre pistons à l’avant.

Déjà à la cinquième génération, la Chevrolet Camaro 2009 avait un design musclé et rétro.
Alors que la première Camaro a été introduite en 1967 en tant que réponse de Chevrolet à la Ford Mustang, la même chose s’est produite avec le modèle 2009.

La Mustang connaissant un grand succès, GM a dévoilé le concept Camaro pour étudier les réactions des clients et déterminer s’il était temps pour une nouvelle série. 8 mois après la sortie du concept-car, la version officielle a été annoncée.

Voiture d’excellente performance, la Camaro était équipée d’un moteur V6 ou d’un moteur V8 plus puissant. L’unité V6 pouvait sprinter la Camaro à 100 km/h en environ 6 secondes, tandis que le V8 5 secondes.

Basée sur une version raccourcie et retravaillée de la plateforme Zeta de GM, la Camaro était équipée d’une suspension arrière indépendante et d’une tenue de route raffinée.

La Camaro 2009 était disponible avec 5 niveaux de finition : LS, 1LT, 2LT, 1SS et 2SS.

Alors que les trois premiers étaient équipés du moteur V6, le 1SS et le 2SS avaient le moteur V8 standard.

Même le modèle de base était bien équipé avec des roues en acier noir de 18 pouces, une entrée sans clé, un revêtement en tissu, la climatisation, un régulateur de vitesse et autres.

Le 1LT a ajouté des alliages et des antibrouillards plus gros, tandis que le 2LT a ajouté des alliages de 19 pouces, des rétroviseurs extérieurs chauffants, une sellerie en cuir, des sièges avant chauffants et un meilleur système audio.

Les modèles à moteur V8 ont ajouté des éléments de style extérieurs et intérieurs spécifiques en plus des freins plus performants et du moteur plus puissant.

D’autres forfaits étaient disponibles pour améliorer le confort, la connectivité et le luxe.

La quatrième génération de la Camaro était l’une des voitures les plus sous-estimées du marché, même s’il s’agissait d’une Corvette sous couverture.
Avec un moteur LT1 sous le capot et des détails subtils, la Z28 était la voiture qui pouvait étourdir et embarrasser un propriétaire de Mustang avant qu’elle ne puisse épeler le nom de sa voiture. De plus, il était disponible en coupé pour les conducteurs invétérés ou en cabriolet pour ceux qui préféraient un style de conduite détendu mais fougueux.

Chevrolet a changé le look de la Camaro et a installé un nouvel ensemble de phares qui n’étaient pas enfouis sous le capot. Maintenant, ils étaient plus larges, plus ronds, plus évidents. Sa calandre a été agrandie et remodelée. Il n’avait pas l’air aussi net qu’avant, mais ne vous y trompez pas : c’était toujours un joyau caché d’une voiture de sport.

Chevrolet a installé une sellerie bicolore sur le siège baquet avec renfort haut pour la version Z28. Une nouvelle boîte de vitesses manuelle à six rapports est montée de série. Les sièges baquets à l’arrière étaient profonds et, en théorie, ils permettaient à un couple d’amis de se joindre à la conduite. Mais en réalité, il n’y avait pratiquement aucun espace pour les jambes si le conducteur mesurait plus de 6 pieds (1,80 m).

Sous le capot, Chevrolet a installé le moteur LT4. C’était le même vieux V8 de 5,7 litres de la Corvette, mais avec moins de puissance. Cela ne voulait pas dire que ce n’était pas un excellent choix pour les entreprises du marché secondaire et les sociétés de réglage.

Chevrolet a sorti de son bac à badges le SS et l’a installé sur une voiture digne de le porter en 1997 : la Camaro ; puis ajouté une saveur à ciel ouvert.
L’insigne Super-Sport (SS) était bien connu au milieu des années 60 lorsque Chevrolet l’appliquait sur les versions les plus puissantes de ses muscle-cars comme la Nova, la Camaro ou la Chevelle. Et ce n’était pas seulement un autocollant sur la carrosserie. De sérieuses améliorations techniques l’ont soutenu.

Chevrolet ne voulait pas que la Camaro SS soit subtile. Il a ajouté un capot composite avec une grande prise d’air et un petit aileron à l’arrière. À l’arrière, il a ajouté un double échappement en acier inoxydable qui a amélioré à la fois l’apparence et le son de la voiture. La SS avait besoin d’un ensemble de jantes en alliage léger de 17 pouces inspirées de la Corvette ZR1 équipées de gros pneus. Son toit en toile était complètement rétractable derrière les sièges arrière et caché sous une housse en vinyle.

À l’intérieur, il n’y avait pas trop de différences par rapport à une Camaro Z28 ordinaire. Chevrolet a conservé le rembourrage bicolore sur le siège baquet avec un renfort élevé. Le banc était profilé pour deux mais n’offrait presque pas d’espace pour les jambes. Une nouvelle boîte de vitesses manuelle à six rapports équipée d’un pommeau Hurst a été installée de série. Chevrolet a collé un badge spécifique sur le couvercle du cendrier pour souligner le modèle particulier.

Sous le capot, le moteur LT4 de la version Z28 a été réglé par SLP. C’est la même équipe qui a apporté plus de puissance à la Pontiac Firebird. Grâce à un système d’admission réglé, le V8 de 5,7 litres a fourni 25 poneys de plus que le Z28 standard.

La quatrième génération de la Camaro pourrait être l’une des générations les plus sous-estimées de toute son existence sur la plaque signalétique.
Néanmoins, c’était une pony car quotidienne.

General Motors ne voulait pas perdre sa part de marché et espérait qu’une nouvelle Camaro inciterait les clients à venir dans les salles d’exposition de Chevrolet. Cela ne fonctionnait pas très bien, mais la voiture était meilleure que la plupart de ses détracteurs ne l’imaginaient. Tout d’abord, il a été construit au-dessus de la plate-forme F et présentait un bon équilibre entre performances et convivialité au jour le jour. De plus, il était proposé avec des moteurs pour toutes les poches.

La Camaro partageait le look élégant et aérodynamique avec sa sœur, la Pontiac Firebird. Son nez pointu et ses phares enterrés étaient uniques sur le marché. Ce n’est qu’après le lifting de 1998 que la voiture a subi un lifting et a reçu un look plus régulier pour ses feux. Mais la forme générale est restée inchangée pour toute la génération, avec un pare-brise très incliné, un toit court et une grande lunette arrière inclinée. Un petit couvercle de coffre à l’arrière complète l’allure sportive de la Camaro.

A l’intérieur, le constructeur a installé des sièges baquets bas à l’avant et une petite banquette pour deux à l’arrière, qui servait plus souvent de coffre que de transport de personnes. Il n’y avait pas d’espace pour la tête et l’espace pour les jambes était limité si les occupants avant étaient des adultes de taille moyenne. Pour le groupe d’instruments, Chevrolet a installé deux larges cadrans pour le compteur de vitesse et le tachymètre. Sur leur côté droit, les ingénieurs ont placé un compteur kilométrique numérique sur un écran LCD éclairé en orange.

Outre les modèles spéciaux, tels que le Z28 ou le SuperSport, la Camaro proposait un choix de deux moteurs V-6 couplés à une boîte manuelle à 5 vitesses standard, tandis qu’une automatique à 4 vitesses figurait sur la liste des options.

Alors que la Camaro SS était la version la plus redoutée par ses concurrents, la Z28 était l’outsider qui a arraché la tête des propriétaires de Mustang avant qu’ils ne sachent ce qui les frappait.
Même si le Z28 n’était pas le plus puissant de sa gamme, il n’était qu’à dix poneys de moins que son frère Super Sport. En accélération en ligne droite, cela importait peu. Certes, la SS était meilleure sur un circuit routier, mais pour la course d’un quart de mille, c’était moins important. Pour les fans inconditionnels de Chevy, la Z28 ressemblait à la glorieuse Camaro de deuxième génération qui était plus rapide que sa sœur plus puissante, grâce à son moteur plus léger. Pour le modèle de 1997, cela n’avait aucune importance puisque les deux modèles partageaient le même moteur LT1 à petit bloc.

De l’extérieur, la Z28 présentait le nouveau design des phares avec un système à double lampe de forme ovoïde et les clignotants montés plus bas dans le pare-chocs. La version européenne a souffert de l’utilisation obligatoire d’une plaque d’immatriculation avant, tandis que les Américains ont apprécié la vue d’une calandre en forme de bouche.

À l’intérieur, Chevrolet a installé des sièges baquets sport à l’avant et une petite banquette à l’arrière. Le tableau de bord était centré autour du conducteur, avec une console centrale inclinée. Entre les sièges avant, une grande console centrale remplissait l’espace avec un compartiment de rangement, le frein à main et le levier de vitesses.

Sous le capot, le moteur LT1 de 5,7 litres fournissait 315 ch, soit dix de moins que la version SS. Mais ce n’était pas un problème puisque le LT1 était l’un des V-8 les plus faciles à régler et à mettre à niveau sur le marché. Les ingénieurs ont associé le moteur à une boîte manuelle à 5 vitesses.

La Camaro SS de 1997 était une aubaine de son époque par rapport au prix par rapport aux performances et, contrairement à de nombreuses voitures américaines, elle était également bonne sur le plan de la maniabilité.
L’insigne SS était notoire au milieu des années 60 lorsque Chevrolet l’a installé sur ses versions les plus puissantes telles que la Chevelle, la Camaro ou la Nova. Il ne l’a pas utilisé uniquement comme outil de marketing. Ces véhicules étaient puissants et spéciaux. La Camaro SS 1997 n’a pas fait exception. Chevrolet a demandé à la performance SLP de faire sa magie sur la Camaro Z28 et ils l’ont fait.

Chevrolet ne voulait pas que la Camaro SS soit subtile. Il a ajouté un capot composite avec une grande prise d’air et un petit aileron à l’arrière. À l’arrière, il a ajouté un double échappement en acier inoxydable qui a amélioré à la fois l’apparence et le son de la voiture. La SS avait besoin d’un ensemble de jantes en alliage léger de 17 pouces inspirées de la Corvette ZR1 équipées de gros pneus pour améliorer la maniabilité de la voiture.

À l’intérieur, il n’y avait pas trop de différences par rapport à une Camaro Z28 ordinaire. Chevrolet a conservé le rembourrage bicolore sur le siège baquet avec un renfort élevé. Une nouvelle boîte de vitesses manuelle à six rapports équipée d’un pommeau Hurst a été installée de série. Pour souligner le modèle particulier, Chevrolet a collé un badge spécifique sur le couvercle du cendrier, sur la console centrale.

Sous le capot, le moteur LT4 de la version Z28 a été réglé par SLP. C’est la même équipe qui a apporté plus de puissance à la Pontiac Firebird. Grâce à un système d’admission réglé, le V8 de 5,7 litres fournissait 25 ch de plus que le Z28 standard. Grâce à la nouvelle boîte manuelle à 6 rapports et à un différentiel à glissement limité Torsen en option, la SS a pu franchir le quart de mille en 14 secondes chrono.

Alors que la Corvette a volé toute l’attention pour ses performances, la Camaro était le héros méconnu qui pouvait offrir des performances similaires, avec le bon moteur.
GM a présenté la troisième génération de la Camaro en 1982 pour répondre à la Mustang de Ford introduite quelques années plus tôt. La crise pétrolière était toujours présente dans l’esprit des clients, et la peur d’une autre était toujours présente. Ainsi, la marque au nœud papillon a proposé la Camaro comme un véhicule à l’allure sportive mais avec des moteurs économes en carburant. C’était la pony-car de Chevrolet.

Élégante, avec un look vraiment sportif, la Camaro a conquis le cœur de ses clients. Même si elle partageait la même plate-forme que la Pontiac Camaro, elle avait ce petit plus qui la rendait plus attrayante. Peut-être que les phares doubles et carrés ou l’énorme pare-brise incurvé à l’arrière étaient quelques-unes des raisons pour lesquelles il était si attrayant. Ses longues portes sans cadre et ses grands feux arrière rehaussent l’allure sportive de la voiture.

À l’intérieur, les sièges baquets avant recouverts de tissu offraient un bon maintien latéral et un bon confort. Son tableau de bord plat et droit arborait deux bouches d’aération au milieu et un tableau de bord intégré devant le conducteur. Chevrolet a installé les commandes de ventilation sur le côté supérieur et la chaîne stéréo sur la zone inférieure, juste au-dessus de la console centrale. La Camaro comportait deux sièges à l’arrière où quelqu’un pouvait à peine entrer et sortir, sans parler de la durée pendant laquelle il pouvait s’y asseoir.

Sous le capot, GM s’est davantage concentré sur les véhicules économes en carburant et a installé un quatre cylindres en ligne de 2,5 litres couplé à une boîte manuelle à quatre vitesses pour la version de base. Chevrolet a remplacé l’ancienne suspension à ressort à lames par une nouvelle, avec des ressorts hélicoïdaux dans tous les coins. Ainsi, la Camaro est devenue l’une des voitures les plus maniables de son segment.

Chevrolet a proposé le package Z28 sur la Camaro Z28 de première génération pour participer à la série SCCA Trans-Am.
En 1977, le constructeur automobile américain a relancé cet insigne pour la deuxième génération.

La Camaro était l’une des muscle-cars les plus célèbres. Après les règles du CAFE et le début de la première crise pétrolière, cette ère a pris fin. Mais la plaque signalétique a survécu sur le marché en tant que voiture de sport abordable. La deuxième génération de la Camaro a pris d’assaut les portes de la salle d’exposition en 1970, mais ses moteurs faibles étaient loin des jours glorieux des moteurs V8 à gros bloc. Mais ensuite, le Z28 est réapparu.

Il n’était pas nécessaire d’être un spécialiste de l’automobile pour reconnaître une Z28. Outre les badges installés sur les ailes avant, la voiture a également reçu une petite mise à jour pour la calandre du radiateur. À partir de 1978, la Z28 comportait un dôme motorisé dans le capot, avec une fausse prise d’air. Plus tard, cela est devenu fonctionnel et des évents d’échappement supplémentaires ont été coupés dans les ailes avant.

À l’intérieur, le Z28 était équipé de série des exigences minimales d’un véhicule routier, mais il y avait une longue liste d’options disponibles. Les vitres électriques, la climatisation et le lecteur de cassettes stéréo étaient les éléments habituels choisis par les clients.

La Z28 était équipée d’un moteur de 5,7 litres, disponible en quelques puissances selon l’année de fabrication et les options. La transmission standard était à quatre au sol, tandis qu’une boîte automatique à 3 vitesses était proposée en option. Le différentiel positronique faisait partie du package Z28 standard.

Chevrolet a présenté la deuxième génération de la Camaro en 1970, et elle a changé le paradigme, optant pour un véhicule plus léger plutôt que pour des moteurs plus gros.
Même si l’accord CAFE et la nouvelle réglementation sur la pollution n’étaient pas encore mis en œuvre, Chevrolet a volontairement réduit la cylindrée de ses moteurs. Un petit bloc plus léger a conduit à une voiture plus maniable et, s’il était développé avec une puissance de sortie similaire, a conduit à un véhicule plus rapide.

Le département de conception de GM s’est inspiré des voitures de sport européennes pour la deuxième génération de Camaro et a conçu le véhicule avec une longue lunette arrière inclinée et un coffre court. Selon le niveau de finition, le constructeur a installé un aileron arrière. À l’avant, le carénage avant épinglé et les phares ronds dans des boîtiers carrés étaient très différents de ceux installés sur son prédécesseur.

À l’intérieur, la Camaro était équipée de sièges baquets sport montés bas sur le plancher pour amplifier la sensation sportive. Le tableau de bord était arrondi et comportait un tableau de bord incurvé centré autour du conducteur. Sur la console centrale, le constructeur automobile a placé la radio en option. Il y avait moins de place pour les passagers arrière, mais le constructeur a remarqué que ceux-ci étaient rarement utilisés par qui que ce soit.

Chevrolet a installé une large gamme de moteurs fournissant entre 117 ch et 250 ch sous le capot. GM a développé une version particulière, la Z28, qui offrait plus de puissance du moteur LT1 de 5,7 litres qui s’est avéré plus puissant dans la vraie vie que sur le papier.

En 1974, la crise pétrolière et la prime d’assurance ont fait chuter les clients des muscle cars, et les constructeurs ont dû s’adapter.
La Z28 Camaro était l’un des moyens les plus intelligents de le faire.

Chevrolet a présenté la deuxième génération de la Camaro en 1970. Elle a changé sa catégorie de muscle car en pony car, concurrençant principalement la Mustang et la Dodge Challenger, cette dernière étant abandonnée en 1974. GM a tenté de tenir sa promesse et a produit la Camaro en le package Z28, qui offrait le moteur LT1 et quelques caractéristiques uniques.

Chevrolet a proposé une option pour les rayures sur le capot et le couvercle du coffre pour les débutants, avec un large lettrage Z28 dessus. La longueur totale a augmenté de sept pouces (178 mm) en raison des pare-chocs plus grands, obligatoires pour la règle des 5 mph (8 km/h). Un ensemble unique de jantes en alliage et de rétroviseurs extérieurs sport a amélioré le profil de la voiture, tandis qu’à l’arrière, la Z28 arborait des échappements doubles. Mais l’amélioration la plus significative par rapport à son prédécesseur était la construction monocoque de la plate-forme F-body, qui réduisait le poids et améliorait la maniabilité.

À l’intérieur, le constructeur a installé des sièges baquets sport avec appuie-tête intégrés. Son tableau de bord arborait le même groupe large étendu sur le tableau de bord et la console centrale. Il comportait toujours des sièges arrière, mais avec un minimum d’espace pour les jambes et la tête en raison de la serre inclinée.

Sous le capot, Chevrolet a installé un moteur V-8 de 5,7 litres (350 pouces cubes). Il était alimenté par un carburateur à quatre corps et fournissait un réseau SAE de 245 ch. Il a envoyé la puissance aux roues arrière via une boîte de vitesses manuelle à quatre vitesses avec une option pour une automatique à trois vitesses (principalement pour la version LT que les modèles Z28) à un différentiel arrière positronique (autobloquant).

La version Super Sport de la deuxième génération de Camaro a été introduite par Chevrolet en 1971.
Le nouveau modèle est venu avec un extérieur nouvellement révisé, avec une ligne de toit fastback et une vitre pleine porte sans ventilation. L’intérieur de la voiture comportait également un tas de nouveaux éléments, y compris un tableau de bord redessiné (incorporant désormais la console centrale en option). En raison de difficultés d’adaptation aux nouvelles réglementations en matière d’émissions, de sécurité et d’économie de carburant, le modèle SS a été abandonné à la fin de 1972. À partir de 1973, le gros bloc V8 de 6,5 L ne serait pas disponible à l’achat avec le modèle Camaro.

L’ère des voitures musclées était à son apogée lorsque Chevrolet a présenté la Camaro de première génération.
Il a été construit pour lutter contre le Mustang, une bataille qui s’est poursuivie au fil des générations.

Il était clair dès le départ que les versions fermées étaient préférées pour les courses d’accélération et devaient être modifiées. Mais pour la balade, c’est la Camaro Cabriolet SS qui a obtenu les atouts.

Avec ses phares dissimulés et l’insigne SS chromé au milieu de la calandre noire, la Camaro Cabriolet Super Sport attirait le regard. Les lignes fluides des ailes, les dômes motorisés sur le capot et les panneaux de custode arrière arqués étaient des éléments distinctifs du véhicule. Les quatre fenêtres auraient pu être ouvertes, ne laissant rien pour arrêter le vent à part le pare-brise. Le modèle 67 comportait des capuchons plats sur les roues, tandis que les modèles ultérieurs en présentaient des plus grands.

À l’intérieur, il y avait deux sièges baquets pour les occupants avant et une banquette à l’arrière. Un joli détail de conception de la Camaro était que tout était placé sous la ligne du tableau de bord. Le groupe d’instruments avec ses deux cadrans ronds, la console centrale et le sélecteur de vitesses monté au sol faisait partie d’une nouvelle culture de conception automobile. C’était une tendance de conception qui disait que de côté, la seule chose visible devrait être les occupants et peut-être le côté supérieur du volant.

Sous le capot, la voiture était équipée d’un 5,7 litres (le fameux moteur 350) qui produisait au moins 300 ch. La Camaro Cabriolet SS était disponible avec une boîte manuelle à 4 vitesses ou une automatique à 3 vitesses.

En septembre 1966, Chevrolet a introduit la gamme Camaro dans son réseau de concessionnaires.
Du coup, la Mustang n’est plus seule sur le marché : sa concurrente arrive.

La bataille entre la Camaro et la Mustang a été l’une des plus belles histoires de l’histoire automobile américaine. Ford a relevé la barre en 1964, et Chevrolet a répondu deux ans plus tard avec un pony/muscle-car qui n’avait pas besoin d’une version fastback pour bien paraître. La marque au nœud papillon a sorti la Camaro avec un moteur de base qui n’offrait que 140 ch, et ce fut un grand succès commercial. Chevrolet a proposé la version SuperSport, ou SS, car elle était mieux connue de ceux qui demandaient plus de puissance.

À l’avant, l’avant de la Camaro 67 n’était pas aussi épinglé que pour les modèles ultérieurs, et la calandre était rectangulaire. Ses deux phares ronds étaient accompagnés d’un ensemble de phares antibrouillard sur le côté intérieur de la calandre. Enfin, un badge SS chromé occupait le devant de la scène de la calandre noire. Contrairement aux modèles construits après 1969, la Camaro SS 1967-1969 comportait des fenêtres triangulaires à l’avant de ses portes. Ce détail a été modifié par la suite.

À l’intérieur, il y avait une paire de sièges baquets à l’avant et une banquette ordinaire à l’arrière. La L48 Camaro SS était proposée avec de nombreuses options intérieures, y compris un arceau de sécurité. Ce qui n’était pas disponible, c’était les vitres électriques.

Sous le capot, Chevrolet a installé un moteur V8 de 350 CID (5,7 litres). Il offrait près de 300 ch avec un seul carburateur à quatre corps. Mais il y avait tellement de solutions de rechange qui pouvaient facilement franchir la barrière des 400 chevaux, et c’est ce qui a rendu la Camaro SS si recherchée.

La Camaro L30 était le véhicule couchette d’origine parmi ses frères, avec des performances similaires, sinon supérieures, tandis que son extérieur ne le montrait pas avec des badges spéciaux ou des designs flashy.
En 1967, Chevrolet a présenté une version unique pour la Camaro, la L30. Alors qu’il ressemblait à son cousin SS, il ne portait pas d’insigne spécifique, mais comme il comportait des ensembles extérieurs similaires, ils étaient souvent confondus. De plus, la campagne publicitaire de Chevrolet a créé encore plus de confusion entre la SS et la L30. Enfin, les deux versions offraient des performances similaires.

Un modèle au look L30 pourrait facilement être confondu avec un modèle SS-350 dépouillé de toute ornementation. Une bande blanche ornait la face avant de la voiture, entourant le capot et les ailes avant. Il était interrompu sur les côtés par les inscriptions 327, indiquant la cylindrée du moteur. Il était parfois appelé SS-327, mais le SS était construit exclusivement avec le moteur 350. La calandre comportait les mêmes phares ronds que le reste de la gamme et les clignotants montés vers le centre de la voiture, mais sans aucun badge au milieu. À l’arrière, Chevrolet a installé un double échappement avec un silencieux à flux transversal et des tuyaux latéraux.

La L30 était équipée d’une transmission manuelle à quatre vitesses avec positraction (différentiel à glissement limité). En raison de la boîte de vitesses manuelle à quatre vitesses, la Camaro L30 était également connue sous le nom de L30/M20, où la M20 représentait la boîte de vitesses. En 1967, la Camaro L30 comportait un essieu arrière à dix boulons, mais le constructeur automobile l’a remplacé par un essieu à 12 boulons en mars. Chevrolet a construit un total de 10 654 coupés L30/M20 et 1 202 cabriolets L30/M20 au cours de ses deux années de production en 1967 et 1968.