Avec la première génération lancée en 1994, BMW a renouvelé l’intérêt pour les cabriolets de performance à 2 places.
Offrant luxe, équilibre et performances sur le marché des roadsters haut de gamme, la Z4 était la clé d’une conduite engageante.

Pour la 3e génération, BMW a combiné à la fois un coupé et un cabriolet en un seul modèle, le Z4.

Plusieurs améliorations ont été apportées pour améliorer le confort de conduite, offrant une suspension M adaptative et des amortisseurs à commande électronique.

Dans une gamme de trois moteurs 6 cylindres, le modèle phare était la BMW Z4 sDrive35i qui était équipée d’un moteur twi-turbo de 3 litres. Elle développait pas moins de 306 ch et mettait environ 5,2 secondes pour atteindre 100 km/h.

S’il était couplé à la transmission à double embrayage à 7 rapports, le Z4 était 0,1 seconde plus rapide grâce à la montée ultra rapide et aux rétrogradations parfaitement adaptées.

Esthétiquement, le Z4 était une combinaison d’un coupé de la série 6 (arrière) et d’une série 3 (phares). Le Z4 présentait les proportions classiques d’un roadster avec un long capot, un couvercle de pont court et une position basse et large.

Le toit métallique rétractable pouvait être relevé ou abaissé en 20 secondes et le Z4 a été le premier à être équipé d’un toit rigide en deux parties à commande électrohydraulique.

Pour 2009, la visibilité globale a été grandement améliorée, avec une visibilité panoramique en hausse de 14 % et une visibilité latérale en hausse de 40 %.

Bien qu’un peu chère, la Z4 était bien équipée, puissante et amusante à conduire. Les autres options moins chères sur le marché à l’époque étaient la Mazda MX-5 et la Nissan 370z.