La frénésie des voitures électriques a poussé Chevrolet à proposer peu d’offres pour ce segment et, en 2017, elle a présenté la Bolt.
C’était un conducteur quotidien qui pouvait offrir une autonomie réelle de 283 miles (455 km).
Après que Nissan a lancé la première voiture électrique abordable sur le marché sous la forme d’une berline compacte, et que Tesla a pris d’assaut les drag-strips avec ses véhicules électriques coûteux, Chevrolet a proposé un bon choix de voiture qui avait une autonomie plus élevée que la Leaf et il n’a pas bougé comme si c’était au ralenti.
De l’extérieur, la Bolt ressemblait à un mélange entre une fourgonnette et une berline compacte. Un pare-brise incliné ressemblait à une extension du capot. La ceinture de caisse ascendante améliore l’image dynamique de la voiture. Les jantes en alliage léger étaient montées de série.
La Bolt, comme toutes les autres voitures électriques sur le marché, avait la batterie installée à l’intérieur du plancher, ce qui a conduit à une position assise plus haute et à une serre plus haute. Mais il n’offrait pas trop d’espace pour les occupants et aucune poignée au-dessus des portes non plus. En plus, il comportait un écran de 10,2 pouces au centre du tableau de bord. Le groupe d’instruments était entièrement numérique, grâce à un écran couleur TFT.
La Bolt était équipée d’un puissant moteur électrique qui pouvait offrir un 0 à 60 (0-97 km/h) en moins de 7 secondes. Il comportait également un mode de conduite «à une pédale». Un bouton désigné sur le volant permettait au freinage électrique de s’arrêter complètement. Avec le levier de vitesses en mode “L”, ce mode de conduite était automatiquement activé.