GM a présenté la neuvième génération du Suburban en 1999, et c’était une autre preuve que les gens n’avaient pas besoin d’une fourgonnette pour transporter huit personnes à l’intérieur.
Le SUV de taille géante était basé sur le châssis GMT830 fiable utilisé pour le pick-up GMC Silverado/GMC Sierra. Il pouvait gérer des terrains accidentés, des routes difficiles et tirer de lourdes remorques. Il n’avait que deux ennemis : la consommation de carburant et les routes sinueuses.
Le Suburban était le cheval de bataille de la famille. Ce n’était ni luxueux ni luxueux. C’était plus un plouc portant des Wranglers et une paire de bottes qui pouvait aller dans un hôtel cinq étoiles et demander une bière dans une tasse rouge. À l’avant, le Suburban était doté d’un système de phares doubles aux bords arrondis et d’une lamelle chromée qui traversait le carénage avant de gauche à droite. Il était légèrement plus court, plus étroit et avec un empattement plus court que son prédécesseur. À l’arrière, le Suburban comportait un hayon classique avec une fenêtre rabattable, idéal pour jeter quelques courses dans le coffre.
À l’intérieur, il était disponible dans quelques configurations de sièges, mais la norme était de trois rangées avec quelques sièges à l’avant et trois sur chacune des deux autres rangées. Le tableau de bord ressemblait à celui installé dans le Chevrolet Silverado, avec un grand groupe d’instruments étendu sur la console centrale. Une console centrale large et haute séparait les larges sièges baquets avant. Tous les autres sièges auraient pu être rabattus ou retirés pour augmenter le coffre.
Sous le capot, Chevrolet a installé un choix de trois moteurs allant de 5,3 litres à 8,1 litres couplés à une transmission automatique à quatre vitesses standard.