Après que le monde a commencé à se remettre de la crise économique mondiale, les constructeurs automobiles ont commencé à se redresser.
En 2011, GM a présenté la Chevrolet Volt, également connue sous le nom d’Opel Ampera.
L’économie mondiale n’était pas complètement rétablie, mais GM ne voulait plus attendre. Il a déjà présenté le concept-car en 2007. C’était le premier hybride rechargeable sur le marché et il ne voulait pas perdre cet avantage sur l’un de ses concurrents. Pour couvrir une plus grande partie du gâteau, GM a présenté la Chevrolet Volt sous le nom d’Opel Ampera en Europe, Vauxhall Ampera au Royaume-Uni, Holden Volt en Australie et en Nouvelle-Zélande et Buick Velite 5 en Chine. C’était la première voiture hybride rechargeable au monde.
Le design extérieur présentait une silhouette aérodynamique, avec des phares allongés affleurants à la carrosserie et une calandre inclinée. La conception de la calandre était plus un look qu’une ouverture. Comme le moteur à essence était une petite unité de 1,4 litre, il n’avait pas besoin d’un gros radiateur. La batterie traversait le centre de la voiture, empêchant ainsi une banquette arrière.
Bien qu’elle soit un véhicule coûteux, la Volt présentait un intérieur bon marché qui affectait les ventes. La technologie à l’intérieur de la voiture était donc chère, afin de maintenir le prix le plus bas possible. Chevrolet n’a pas prêté trop d’attention aux détails. Mais la voiture présentait tous les éléments de confort d’une voiture moderne de série, notamment un système de climatisation, des sièges chauffants et deux écrans pour le combiné d’instruments et pour le système d’infodivertissement. Ce dernier était également utilisé pour la gestion de l’alimentation.