Le marché des monospaces était encore important au début des années 2000, et Ford a essayé d’en tirer plus en introduisant le C-Max en 2003.
Ford a réussi à construire une gamme plus large de véhicules sur la base de sa plate-forme C1, qui a été utilisée pour la deuxième génération de la Focus. Le C-Max est apparu comme un concurrent important pour le Renault Scenic et le Citroën Picasso. Contrairement à ses rivales, elle mise sur la suspension arrière indépendante qui la rend plus confortable.
De l’extérieur, son carénage avant était incontestablement lié à la Focus. Il comportait des phares triangulaires et incurvés similaires et une calandre d’aspect similaire. De ses côtés, il ressemblait à un break Focus avec une serre plus haute et des panneaux de porte. À l’arrière, il arborait un ensemble de feux arrière montés haut sur les montants D.
À l’intérieur, le C-Max offrait un intérieur spacieux pour cinq passagers adultes. Bien qu’elle partage le même empattement avec la Focus, elle offrait un meilleur dégagement pour les jambes des passagers arrière puisque ses sièges étaient plus hauts. Pour que la voiture ressemble davantage à une berline compacte, Ford a installé une console centrale plus haute avec un levier de vitesses plus court.
Sous le capot, le constructeur a installé un choix de quatre moteurs essence et diesel, couplés en série à une boîte de vitesses manuelle. Pour certaines versions, Ford a également proposé une transmission automatique.