La septième génération de l’Accord était disponible en Europe sous forme de berline et de break, cette dernière étant nommée tourer.
L’Accord Tourer a été introduit un an après la version berline et ses caractéristiques étaient inattendues dans son segment. Son principal problème était qu’il n’était pas proposé avec une large gamme de moteurs et que la transmission automatique était lente.
La conception du nez pointu avec des phares à l’aspect énervé était l’une des parties les mieux conçues de la voiture. Jusqu’au montant B, il avait la même forme que la version berline, mais il y avait un véhicule différent à partir de là. Dans leur quête pour construire un intérieur spacieux, les designers japonais ont rendu le hayon presque vertical, mais il était très pratique puisqu’il était équipé d’une ouverture et d’une fermeture électriques, une caractéristique peu commune pour son segment.
L’intérieur était similaire au reste de la gamme, avec une conception de tableau de bord simple. Il était proposé dans quelques niveaux de finition, et seule la version supérieure, Executive, était disponible avec un système de navigation par satellite et un toit ouvrant. La banquette arrière se repliait dans un rapport 40/60 pour agrandir l’espace du coffre et formait un plancher plat du pare-chocs aux sièges avant.
Sous le capot, l’Accord n’était disponible qu’avec trois options de moteur : 2,0 litres d’essence, 2,4 litres d’essence et un turbodiesel de 2,2 litres. La boîte de vitesses automatique n’était disponible que pour les anciens. Ce dernier était associé exclusivement à une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports jusqu’au lifting de 2005.