En 2000, Hyundai a présenté la troisième génération de l’Elantra dans quelques formes et tailles.
La berline était l’une des versions les plus vendues,
La voiture a à peine fait son entrée dans le segment des compactes, selon les normes de ces années-là. C’était une nouvelle ère pour Hyundai, et ça l’a montré, surtout de l’extérieur. Un autre point fort d’Elantra était l’indice de fiabilité, qui a augmenté par rapport à son prédécesseur.
La berline Elantra était dotée d’une carrosserie à quatre portes et à trois caisses. À l’avant, il comportait des phares inclinés aux lignes nettes et des phares distincts à l’intérieur du même couvercle en verre transparent. Sa calandre en forme de V se prolongeait sur le capot par deux longues lignes reliées aux montants A. Sur les côtés, la ceinture de caisse partait de l’extrémité des passages de roue jusqu’aux feux arrière. La ligne inclinée de la lunette arrière a commencé à descendre au-dessus de la zone des passagers arrière.
À l’intérieur, l’Elantra comportait un tableau de bord et un tableau de bord simples, avec une console centrale arrondie. Ses sièges avant comportaient plus de réglages, y compris sur l’axe vertical. À l’arrière, l’espace pour la tête était limité pour les passagers adultes, mais suffisant pour les enfants.
Hyundai a installé un choix de trois moteurs pour l’Elantra. La version de base offrait suffisamment de puissance pour un conducteur quotidien et était économe en carburant, tandis que la plus performante était équipée d’un moteur à essence de 2,0 litres, assez rapide pour suivre le rythme des autres véhicules compacts européens.