
HYUNDAI i40 wagon
Chronologie, Spécifications et Images Des Générations

La version mise à jour de la Hyundai i40 Wagon est une déclaration claire du constructeur coréen concernant le marché européen.
Il représente une alternative aux breaks bien établis du segment D. Leur objectif était de construire un véhicule avec une touche de luxe à des prix abordables. Sa suspension a été réglée pour une conduite rapide et équipée de jantes en alliage léger jusqu’à 18 pouces.
Les modifications les plus importantes ont été apportées sous le capot, où des moteurs Euro6d ont été installés. Il propose des versions essence et turbodiesel, avec des puissances allant de 115 ch à 178 ch, selon les marchés. Les boîtes de vitesses standard sont des manuelles à 6 rapports et une automatique à 6 rapports avec palettes au volant est proposée en option. Une nouvelle boîte de vitesses DCT (double embrayage) à 7 rapports était disponible pour la version rénovée, mais uniquement pour les unités diesel.
La plate-forme est la même que pour la Hyundai Sonata, avec une suspension indépendante aux quatre roues. L’empattement de 2,77 m (109 po) convient à un intérieur spacieux. L’espace du coffre est de 553 litres (19,5 pi3) et peut être étendu en rabattant les sièges arrière jusqu’à 1719 litres (60,7 pi3).
Après sa sortie en tant que lifting, les ventes ne se sont pas bien déroulées et le véhicule a été retiré de plusieurs marchés, dont l’Australie et le Royaume-Uni. Pour la version berline, la Sonata a pris la part de marché de l’i40.

En Europe, le marché des breaks était élevé et presque tous les constructeurs automobiles avaient quelque chose à dire.
Hyundai l’a très bien fait avec la i40 Tourer 2012.
La plupart des véhicules break semblaient avoir été tirés sur un budget après le lancement de la version berline. Ce n’était pas le cas avec l’i40 Tourer, une voiture qui ressemblait aussi bien à un break qu’à une berline.
Comme la plupart des breaks du marché, le break ressemble jusqu’au montant B à la berline dont il dérive. Ensuite, un toit plus long et un hayon presque vertical terminent le véhicule. La i40 n’était pas comme ça. Le toit était légèrement incurvé puis prolongé jusqu’à une extrémité arrière inclinée. Il ressemblait plus à un sport-wagon qu’à un break. Les panneaux latéraux sculptés des portes arrière et des custodes étaient spécifiques à ce modèle, non repris de la berline.
À l’intérieur, l’i40 offrait un bon dégagement pour les jambes des passagers arrière, mais pas une hauteur limitée. Ce n’était pas le cas du Tourer, qui avait encore plus d’espace pour les jambes et offrait une grande hauteur sous barrot. Trois passagers pouvaient bien s’asseoir à l’arrière, grâce à un plancher presque plat. Pour la caméra de recul, Hyundai n’a pas diffusé l’image sur l’écran central mais dans le rétroviseur. Un toit panoramique en trois parties était disponible. La section avant s’est inclinée, la section centrale a glissé et l’arrière est fixe.
La variante de moteur était aussi large que pour la berline. La version la plus vendue était un turbodiesel de 1,7 litre, qui pouvait être couplé à une boîte manuelle à 6 vitesses ou à une automatique à 6 vitesses.