En Europe, le marché des breaks était élevé et presque tous les constructeurs automobiles avaient quelque chose à dire.
Hyundai l’a très bien fait avec la i40 Tourer 2012.
La plupart des véhicules break semblaient avoir été tirés sur un budget après le lancement de la version berline. Ce n’était pas le cas avec l’i40 Tourer, une voiture qui ressemblait aussi bien à un break qu’à une berline.
Comme la plupart des breaks du marché, le break ressemble jusqu’au montant B à la berline dont il dérive. Ensuite, un toit plus long et un hayon presque vertical terminent le véhicule. La i40 n’était pas comme ça. Le toit était légèrement incurvé puis prolongé jusqu’à une extrémité arrière inclinée. Il ressemblait plus à un sport-wagon qu’à un break. Les panneaux latéraux sculptés des portes arrière et des custodes étaient spécifiques à ce modèle, non repris de la berline.
À l’intérieur, l’i40 offrait un bon dégagement pour les jambes des passagers arrière, mais pas une hauteur limitée. Ce n’était pas le cas du Tourer, qui avait encore plus d’espace pour les jambes et offrait une grande hauteur sous barrot. Trois passagers pouvaient bien s’asseoir à l’arrière, grâce à un plancher presque plat. Pour la caméra de recul, Hyundai n’a pas diffusé l’image sur l’écran central mais dans le rétroviseur. Un toit panoramique en trois parties était disponible. La section avant s’est inclinée, la section centrale a glissé et l’arrière est fixe.
La variante de moteur était aussi large que pour la berline. La version la plus vendue était un turbodiesel de 1,7 litre, qui pouvait être couplé à une boîte manuelle à 6 vitesses ou à une automatique à 6 vitesses.