Qui a dit que les breaks étaient morts en 2016 était complètement faux.
Kia a remarqué une augmentation de ce type de véhicule et a lancé l’Optima Sportswagon au Salon de l’automobile de Genève.
L’une des raisons pour lesquelles les breaks n’étaient pas si recherchés était leur conception. Ces voitures avaient l’air mieux sur le papier mais pas si bonnes sur les allées des clients. Malgré leur utilité et leur côté pratique, ils ne pouvaient pas suivre le rythme des ventes. C’est pourquoi certains constructeurs automobiles comme Alfa Romeo ou Jaguar n’ont pas proposé de break pour leurs voitures. Mais Kia savait que si une cee’d Sportswagon avait ses clients, une Optima plus grande aurait le même attrait.
Jusqu’aux montants B, l’Optima Sportswagon était la même. Il s’agissait du premier break du segment D fabriqué par Kia et les concepteurs ont essayé de le corriger. Le toit incliné à l’arrière et la ceinture de caisse surélevée derrière le montant C donnaient à la voiture un aspect plus sportif. Enfin, le hayon incliné et le becquet de toit rehaussent visuellement le design dynamique de la voiture.
À l’intérieur, il y avait le même tableau de bord que pour l’Optima ordinaire. Les sièges étaient larges et plats pour assurer une conduite confortable. À l’arrière, la banquette était toujours plate mais elle aurait pu être pliée dans des proportions de 40:20:40. C’était bien pour quatre adultes qui voulaient faire du ski. Le très grand coffre était un soulagement pour tous ceux qui allaient voyager longtemps et prendre une tente à l’intérieur.
L’Optima Sportswagon était équipée des mêmes options de moteur que la berline et des mêmes choix de transmission.