Kia a présenté la troisième génération de son plus petit véhicule, la Picanto, au Salon de l’automobile de Genève 2017.
Conçue sur deux continents et développée sur la même plate-forme que la Hyundai i10, la Picanto a commencé à ressembler davantage à un monospace rétréci qu’à une berline à hayon de petit segment. Ce n’était peut-être pas le meilleur choix pour une famille ou un magasin de livraison de pizza, mais cela pouvait très bien fonctionner dans les deux situations.

Peter Schreyer a conçu la Picanto et a utilisé le même carénage avant connu sous le nom de “nez de tigre” pour la calandre avec une bosse au milieu sur les côtés supérieur et inférieur. Ses phares en flèche arboraient une forme angulaire et étaient longs, presque assez pour toucher les montants A. Le gros pare-chocs à grille inférieure de forme trapézoïdale était celui qui assurait l’essentiel du refroidissement du moteur. La Picanto a conservé la même longueur que son prédécesseur sur les côtés, mais son empattement a augmenté de 15 mm (0,6”). Une ceinture de caisse ascendante et un montant C incliné vers l’avant ont créé l’image d’une voiture dynamique.

À l’intérieur, l’empattement plus long s’est traduit par un espace plus intérieur, en particulier pour les passagers arrière. Son tableau de bord comportait une unité d’infodivertissement de type flottant placée au-dessus de la console centrale, avec deux boutons ronds et quelques boutons supplémentaires. Kia n’a pas coupé les coins ronds et a offert de meilleures fonctionnalités pour la Picanto que la plupart des voitures de petit segment fournies, y compris les boutons du volant, la climatisation automatique et un écran LCD dans le groupe d’instruments, entre le tachymètre et l’indicateur de vitesse.

Sous le capot, le constructeur a installé un choix de trois moteurs à essence allant de 67 ch à 100 ch.