La quatrième génération de la Mazda 626 était l’un des véhicules les plus confortables du Japon, et elle était équipée d’un système de direction intégrale électronique.
Tout en essayant de trouver une identité de design, Mazda a introduit sur le marché une berline de style compensé en 1988. Il s’agissait de la 626, un véhicule construit sur une nouvelle plate-forme et une suspension arrière indépendante, qui a grandement amélioré le confort des passagers arrière.
Avec ses phares rectangulaires et horizontaux et une tentative timide d’adoucir ses contours, la Mazda 6 n’était pas le bonbon de tout le monde. Le constructeur automobile japonais n’a pas clairement compris le goût du design européen, il a donc décidé d’essayer le marché et de le convaincre avec ses produits bien construits. Les quatre portes sont restées identiques à celles installées sur les versions à hayon et break. Il comportait une fenêtre triangulaire plus petite entre les portes arrière et le montant D. À l’arrière, les larges feux arrière rectangulaires étaient montés horizontalement pour une meilleure visibilité de l’arrière.
À l’intérieur, les concepteurs japonais ont installé un tableau de bord incurvé avec une bosse au-dessus du groupe d’instruments. Il ne comportait pas les coupes angulaires habituelles de la plupart de ses concurrents sur le marché. Les bouches d’aération étaient intégrées dans la console centrale et au-dessus de la ligne médiane du tableau de bord. Toutes les berlines étaient équipées de sièges baquets avant confortables.
La suspension indépendante dans tous les virages rendait la voiture très confortable et la gamme de moteurs était adéquate pour ses clients. Mazda a proposé un choix de moteurs diesel et essence pour la 626. Mazda a proposé une version turbocompressée exclusivement pour le marché nord-américain.