Nissan a présenté la deuxième génération de l’Almera en 2000 sous différents noms, selon le marché, et l’a améliorée avec un rafraîchissement de mi-vie après seulement deux ans.
C’est une nouvelle ère pour le constructeur japonais qui noue une relation étroite avec le constructeur français Renault. L’Alliance Renault-Nissan nouvellement créée a réuni des technologies et des plates-formes partagées entre les deux grandes marques. L’Almera a été construite sur la plate-forme MS de Nissan, également utilisée pour son grand frère, le Primera.
La version rénovée a apporté des améliorations à l’extérieur avec une lentille transparente sur les phares et un pare-chocs redessiné, qui arborait des phares antibrouillard ronds. À l’arrière, Nissan a modifié la conception des feux arrière et adopté des motifs circulaires pour les feux de freinage et de recul au lieu de ceux rectangulaires installés sur la version non rénovée.
À l’intérieur, le changement s’est poursuivi avec un tableau de bord entièrement repensé qui arborait un nouveau groupe d’instruments avec le compteur de vitesse et le tachymètre placés au milieu et flanqués de la jauge de carburant à gauche et de la température du liquide de refroidissement à droite. Selon le niveau de finition et les options, l’Almera 2002 comportait un système de navigation intégré installé au-dessus de la console centrale redessinée.
Sous le capot, Nissan a reçu un moteur turbo-diesel de 1,5 litre provenant de la corbeille de pièces Renault. Le moteur turbodiesel haut de gamme de 2,2 litres était associé à une boîte de vitesses manuelle à six rapports.