Nissan a lancé la sixième génération de la gamme Maxima en 2003 comme en 2004 pour la plupart des marchés, y compris l’Australie et les États-Unis.
Introduite au-dessus de la gamme Altima mais partageant ses fondements avec elle, la Maxima était déjà un véhicule connu et apprécié. Toutefois, Nissan pensait pouvoir mieux résister à l’Accord de Honda et à la Camry de Toyota en l’équipant d’un seul moteur et ainsi diminuer ses coûts de production. De plus, il a ajouté des caractéristiques uniques et, plus important encore, il l’a construit avec une suspension indépendante dans tous les coins.
La forme arrondie de la Maxima a révélé une conception de cabine arrière, qui a laissé l’impression d’un véhicule à propulsion arrière, mais ce n’était pas le cas. À l’avant, les phares inspirés de la Nissan 350Z comportaient des lampes et des clignotants montés verticalement sous la même lentille transparente. Une lamelle verticale coupait la calandre en deux, arborant le badge chromé Nissan. De plus, le constructeur automobile a ajouté une caractéristique unique à la voiture nommée SkyView, qui était un panneau de verre fixe étroit et monté longitudinalement au-dessus des sièges avant et arrière. À l’arrière, le montant C était encore plus épais que sur la génération précédente, créant une image plus forte pour le véhicule.
À l’intérieur, Nissan proposait la Maxima en deux niveaux de finition : SE et SL, le premier étant le plus sportif et le second son frère le plus luxueux. De plus, le constructeur l’a proposé avec une option pour quatre places, avec une console centrale qui traversait l’habitacle du tableau de bord au dossier de la banquette arrière. Les clients pouvaient choisir entre des sièges en tissu ou en cuir avec des garnitures en aluminium ou en bois.
Sous le capot, les deux versions ont reçu un moteur V6 de 3,5 litres associé à une boîte automatique à cinq vitesses standard. La SE était disponible avec une option pour une boîte manuelle à six rapports rapprochés.