L’Alliance Renault-Nissan a produit de grands véhicules, comme l’Altima et la renaissance de la GTR.
Mais l’argent pour les construire a été fait par essais et erreurs. Comme la Nissan Note.
Après que les deux constructeurs automobiles ont commencé à travailler ensemble, la société japonaise a dû admettre qu’ils n’étaient pas aussi bons dans la fabrication de petites voitures que leurs partenaires français. Mais leur obsession kei-car s’est transformée en un petit monospace nommé Note et basé sur une plateforme développée conjointement. En 2004, la note est arrivée sur le marché. Et le marché a riposté.
Haut, étroit et long, le Note excellait dans le transport de cinq adultes dans un véhicule de petite taille facile à conduire, facile à garer et bien manœuvré en ville. Mais le style n’était pas son attribut principal. Les phares inclinés vers l’arrière, le capot court et la grande serre n’ont pas éveillé l’appétit des Européens. À l’avant, un pare-chocs haut et une calandre étroite ont été installés. Ils ont dit que ce serait bon contre les peintures commerciales de stationnement. L’arrière vertical aidait le conducteur, mais l’aspect général de la voiture ressemblait plus à un véhicule utilitaire qu’à une voiture familiale.
A l’intérieur, il y avait assez de place pour cinq adultes. Trois sièges à l’arrière avec suffisamment d’espace pour les jambes et la tête. Les points de fixation pour siège enfant Isofix et les ceintures de sécurité pour tout le monde à bord ont été les bienvenus du point de vue de la sécurité. La banquette arrière coulissante rendait possible l’échange de bagages ou d’espace pour les jambes. Pour les longs trajets, la boîte à gants était réfrigérée et pouvait contenir jusqu’à 13 canettes de boissons.
La Nissan Note était proposée avec un choix de quatre moteurs couplés à une boîte manuelle à 5 vitesses, ainsi qu’une autre version couplée à une CVT. Mais les ventes ne se sont pas bien passées et le petit monospace a été abandonné en 2013.