Opel a présenté le Grandland X en 2017 en remplacement du déjà ancien SUV Antara, et l’a construit sous la nouvelle direction de PSA.
Après que GM ait vendu Opel et Vauxhall au constructeur automobile français Peugeot, le nouveau propriétaire a commencé à dicter ses mesures de réduction des coûts. L’un d’eux introduisait un nouveau SUV basé sur la même plate-forme PSA EMP2 que le Peugeot 3008/Citroën C5 Aircross. Contrairement à l’Antara, le Grandland X n’était plus à traction intégrale, mais comme la plupart des clients européens achetaient des SUV à 2 roues motrices, ce n’était pas un problème. Pourtant, s’ils souhaitaient vraiment une version à traction intégrale, Opel a présenté, plus tard, deux versions hybrides.
Malgré le partage de plus de pièces avec Peugeot et Citroën, Opel a réussi à conserver son identité. Il comportait une paire de phares en flèche qui incorporaient les feux de jour à LED avec un design qui ressemblait à l’Insignia. Sa calandre noire avec un motif en 3D arborait une barre chromée avec le badge Opel au milieu, tandis que sur les côtés, les portes sculptées ressemblaient à celles de l’Astra. Les concepteurs de la voiture ont fait un look de toit flottant à l’arrière, avec un montant D noirci sur sa face supérieure.
À l’intérieur, le Grandland X comportait un tableau de bord analogique avec deux larges cadrans sur les côtés flanquant un écran TFT entre eux et deux jauges au-dessus d’eux. Opel a installé un système d’infodivertissement à écran tactile avec mise en miroir d’écran, Apple CarPlay et Android auto en fonction du niveau de finition et des options. Le constructeur allemand a conçu les sièges baquets avant, qui offraient un bon confort, tandis qu’à l’arrière, la banquette rabattable en deux parties pouvait accueillir trois personnes.
Sous le capot, Peugeot a installé une large gamme de moteurs entre une unité turbocompressée de 1,2 litre économe en carburant, mais lente. Il y avait aussi deux versions turbo-diesel et deux hybrides.