Pontiac était impatient d’obtenir un meilleur moteur pour sa TransAm Firebird, et il a fait la version RamAir, qui avait l’air sauvage, puis le constructeur automobile en a fait un cabriolet.
En 2000, la Pontiac surfe toujours sur les marées hautes et ses voitures se vendent bien, surtout la Firebird. C’était une voiture de sport, mais pas aussi dure ou chère qu’une Corvette. Elle était en concurrence avec sa sœur, la Camaro et la Mustang, mais ses phares escamotables étaient différents, ce qui attirait les clients adolescents des années 80.
La principale différence était que le constructeur automobile a installé un nouveau capot avec deux renflements ouverts à l’avant. Ainsi, il a supprimé les évents d’échappement et a suivi plus d’air dans le filtre à air installé juste sous les prises d’air ressemblant à des narines. Son pare-chocs était toujours en forme de V comme dans le modèle de 1997, mais incorporait une paire de larges phares antibrouillard placés plus près du centre de la voiture. Enfin, les phares comportaient deux lampes de chaque côté au lieu d’une comme sur le reste des Firebirds. Un ensemble de rétroviseurs extérieurs profilés aérodynamiquement et une aile sur le coffre rehaussaient l’aspect agressif de la voiture. Pontiac a proposé la version RamAir en trois formes de carrosserie : coupé, T-top et cabriolet.
À l’intérieur de la cabine, le constructeur automobile a abandonné les sièges confortables et a introduit une paire de sièges baquets à haut renfort qui offraient un bien meilleur soutien latéral. Sa suspension avant indépendante et son essieu arrière solide n’étaient pas les meilleurs choix pour un véhicule de manutention, mais ils fonctionnaient bien pour les virages larges sur une piste rapide. La console centrale ressemblait beaucoup au modèle de 1997, mais avec un lecteur de CD dessus. Son égaliseur à sept canaux était difficile à utiliser en conduisant. Mais ce n’était pas un vrai problème tant que ses clients avaient la musique d’un V-8.