Après quatre ans de commercialisation, la deuxième génération de Twingo a bénéficié d’une mise à jour bien méritée et a retrouvé une partie de sa clientèle.
Alors que la première génération de la Twingo était plus ou moins une expérimentation pour le constructeur français, la deuxième génération a été un succès parmi les citadines. Cette fois, il avait les bonnes dimensions pour accueillir quatre personnes à l’intérieur, et pas seulement quatre nains maigres, et il montrait quelque chose de plus sur ses clients. C’était une voiture “très chic”.
Pour la deuxième génération, le lifting a fonctionné comme un charme en supprimant toutes les rides qui apparaissaient sur l’ancien design. Ses nouveaux feux auxiliaires installés à l’intérieur des projecteurs principaux font de la petite Twingo un véhicule facilement reconnaissable dans sa catégorie. Comme son prédécesseur, il n’était disponible qu’en version trois portes. Ses poignées de porte sont restées les mêmes, à moitié enterrées derrière le côté arrière des portes. À l’arrière, les feux arrière marquaient un autre élément de design unique, avec un ensemble supplémentaire de feux sur le hayon.
À l’intérieur, la voiture arborait un nouveau design avec le groupe d’instruments placé au-dessus de la console centrale, incliné vers le conducteur. Devant le volant, le constructeur a mis un compartiment de rangement excellent pour un téléphone ou un petit sac à main. Une autre amélioration significative a été le nouveau support de téléphone installé à la place du système audio. Cela transformait le téléphone du propriétaire en système de navigation ou en lecteur MP3 via une application dédiée.
Sous le capot, Renault a installé un choix de trois moteurs à essence et deux turbo-diesel. Une version particulière, nommée Gordini, rendait hommage à l’ingénieur de génie qui a construit des versions de course pour Renault à la fin des années 60 et au début des années 70, avec des voitures bleues et deux bandes blanches sur la carrosserie.