La première génération de l’Octavia RS a été un succès bien mérité, et le constructeur automobile tchèque a insisté pour lui produire un successeur dans les deux formes : hayon et break.
Skoda a présenté la deuxième génération de l’Octavia en 2004, et c’était une voiture qui valait la peine d’attendre les clients européens. Il offrait des prix de segment compact, un espace intérieur de segment de taille moyenne et la fiabilité de confiance de Volkswagen. Pour ceux qui avaient besoin d’un coffre plus grand, le constructeur automobile l’a également proposé en forme de break. Puis, en 2005, il a ajouté un assaisonnement RS épicé pour le plaisir du conducteur.
Alors que d’autres constructeurs essayaient de rendre leurs hot-hatchs plus agressifs, Skoda a eu une autre idée : rendre la voiture subtile. La version RS ne comportait pas de pare-chocs avant agressifs, de grandes ailes à l’arrière ou d’ailes de roue plus larges. Les seules caractéristiques spécifiques visibles étaient le badge VRS sur la calandre, ses jantes en alliage léger de 17 pouces et un double échappement à l’arrière. Ce n’était pas fade, c’était subtil.
A l’intérieur, il y avait une autre histoire. Tout d’abord, les seuils de porte de la RS, chromés, accueillent les passagers. En option, le constructeur propose un ensemble de sièges baquets sport avec le logo VRS brodé sur les sièges arrière avant. L’Octavia II RS Combi présentait une taille de coffre de 580 litres (20,5 pieds cubes) qui pouvait être agrandie jusqu’à un volume stupéfiant, pour sa catégorie, de 1620 litres (67,8 pieds cubes) en rabattant complètement la banquette arrière.
Sous le capot, Skoda a laissé tomber un moteur Volkswagen Golf GTI couplé à une boîte manuelle à six vitesses ou, en option, à une automatique à six vitesses. Le constructeur automobile a également proposé une version turbo-diesel économe en carburant qui délivrait 258 lb-pi (350 Nm) de couple.