Toyota Hilux est l’un des pick-up les plus connus au monde.
Il est construit depuis 1967 et son histoire ne semble pas s’arrêter. Même s’il n’est pas le véhicule le plus puissant de son segment ni le plus avancé technologiquement, il se vend tout de même très bien. En 2010, le Hilux couvrait 25% du marché.
Le Single Cab ressemble plus à un bourreau de travail et peut remorquer, transporter et endurer beaucoup de punitions. Son moteur turbodiesel de 2,5 litres est doté d’un refroidisseur intermédiaire plus grand, de sorte qu’il peut être utilisé dans des travaux difficiles à basse vitesse, comme ceux du domaine de la construction. Il peut être chargé d’un ton sans déchirer la sueur.
Hormis ses versions à double cabine, il n’était disponible qu’avec une boîte manuelle à 5 rapports et une boîte de transfert à rapports très bas. Les modèles DLX sont équipés d’un système de freinage antiblocage (ABS), d’un blocage de différentiel arrière, de vitres électriques, d’un verrouillage des portes à distance et de rétroviseurs extérieurs chauffants électriques. Il n’y a pas d’unité d’infodivertissement sophistiquée comme celle de la version à double cabine, mais elle a ce dont un bourreau de travail a besoin : une colonne vertébrale solide et suffisamment de vapeur pour travailler toute la journée.
Les versions standard n’ont pas de pare-chocs de la couleur de la carrosserie, elles peuvent donc être moins chères à réparer si (quand) des rayures se produisent. Les feux arrière sont équipés d’ampoules normales, ils seront donc moins chers à remplacer. Et le châssis, eh bien, il peut contenir plus d’un ton. C’est la réglementation qui le limite.