La révolution électrique a capté l’imagination des amateurs de Golf qui se sont tournés vers le constructeur automobile allemand pour leur offrir une raison de ne pas acheter une Nissan Leaf.
Volkswagen cherchait à payer ses péchés du Dieselgate, et l’e-Golf était la réponse parfaite. Avec son zéro émission du tuyau et la douceur de conduite promise, elle a enchanté ses fans avec une Golf électrique. Le premier modèle a été introduit en 2014 et, à peine deux ans plus tard, la Golf a été modifiée et mise à jour.
En 2016, la septième génération de la Golf a reçu une impulsion de mi-vie qui a apporté de nouvelles technologies et un look légèrement différent. L’e-Golf, même si elle n’avait que deux ans, devait suivre ses frères et sœurs et affichait des phares et des feux arrière à LED. Ses pare-chocs ont également été rafraîchis. L’e-Golf était la seule version de sa gamme à afficher des feux de jour en forme de lettre C dans les pare-chocs avant. À l’arrière, Volkswagen a installé de faux échappements chromés au bas du pare-chocs. C’était une décision inhabituelle et illogique.
À l’intérieur, c’était le même groupe d’instruments numériques. Volkswagen a proposé un nouveau système d’infodivertissement Discover Pro équipé d’un écran en verre de 9,2 pouces sur la console centrale. Il a fourni un système de contrôle gestuel et un écran d’accueil entièrement configurable.
Le changement le plus important était sous le… plancher. Volkswagen a installé une nouvelle batterie avec une capacité de stockage augmentée de 24,2 kWh à 35,8 kWh grâce à la technologie lithium-ion. Le moteur était également nouveau et développait 19 ch supplémentaires, atteignant un total de 134 qui pouvaient propulser la voiture de 0 à 60 mph (0-97 km/h) une seconde plus vite que son prédécesseur.