Audi a créé la gamme 200 sur la même gamme 100, mais avec des moteurs plus puissants et une carrosserie légèrement restylée pour concurrencer les Mercedes-Benz Classe E et BMW Série 5.
Le constructeur automobile allemand d’Ingolstadt a tenté de couper les coins ronds dans sa marche vers le segment haut de gamme. Même s’il n’était pas sûr que la recette fonctionnerait, c’était la façon la plus simple de le faire. À certains égards, cela a fonctionné car il offrait de meilleurs moteurs uniquement emballés dans des carrosseries légèrement modifiées. Même s’il ressemblait beaucoup à son frère 100, le 200 et le 200 Avant arboraient quelques différences.
Il y a eu quelques changements mineurs à l’extérieur de la voiture par rapport à son frère moins équipé. À l’avant, la 200 comportait des clignotants montés sur le pare-chocs, tandis que son frère les avait dans les phares. La 200 ne portait aucune lampe sur les ailes avant et les portes comportaient des poignées au lieu de poignées affleurantes. Dans la version Avant, le panneau arrière était également différent. Les 200 arboraient de larges feux arrière étendus d’un côté à l’autre, créant un look haut de gamme.
À l’intérieur, Audi a installé un tableau de bord arrondi qui montait et descendait sur le tableau de bord. Un placage de bois ornait la face avant du panneau et incorporait trois évents centraux au milieu et deux de chaque côté, à côté des portes d’entrée. Le constructeur automobile a étendu le tableau de bord au-dessus de la console centrale, en ajoutant trois jauges supplémentaires. Quant au coffre, il a conservé les mêmes 390 litres (13,7 pi3) avec les sièges arrière relevés, ce qui aurait pu être étendu jusqu’à 1310 litres (46,3 pi3).
Audi a installé une gamme de moteurs à cinq cylindres en ligne sous le capot du 200, associés à une boîte manuelle à cinq vitesses ou à une automatique à quatre vitesses, selon le marché. La puissance est allée soit aux roues avant, soit dans tous les virages.