Lorsque Renault a présenté la première génération de Mégane Renault Sport, elle est devenue l’ultime hot-hatch du marché et y est restée jusqu’à l’arrivée de son successeur en 2009.
Le département Renault Sport a prouvé que ses produits provenaient d’une planète différente, pas seulement du code postal, que le reste des produits construits par le constructeur automobile français. Non seulement cela, la Mégane RS n’était pas fade; il a été féroce et a prouvé qu’il a battu de nombreuses voitures de sport sur le célèbre circuit de course du Nurburgring. C’était la voiture à traction avant la plus rapide au monde et a dépassé la Lamborghini Diablo SV, la Porsche Boxster S et la Dodge Viper GTS.
Contrairement à son prédécesseur, le modèle 2009 présentait des formes arrondies sur toute la carrosserie, avec des phares en flèche et une calandre noir piano à l’avant flanquée des feux de jour obligatoires. De plus, Renault Sport proposait un pack Trophy qui abaissait encore plus la voiture. À l’arrière, la voiture comportait un hayon avec un becquet de toit en haut. Contrairement au reste de la gamme Mégane Coupé, la version RS arborait une sortie d’échappement unique au milieu, sous le pare-chocs arrière, flanquée d’un diffuseur.
A l’intérieur, le constructeur a installé des sièges baquets avec une option pour une version sport avec appuis-tête intégrés et renforts hauts sur les côtés. Son tableau de bord comportait un tachymètre à cadran blanc et un compteur de vitesse à cadran noir centré, tandis que sur le côté gauche, le constructeur automobile a installé un écran LCD pour l’ordinateur de bord.
Mais la partie la plus importante de la voiture était en dessous. Renault Sport a développé un moteur turbocompressé de deux litres qui fournissait 250 ch pour la version normale et 265 pour la version Trophy. Une version hard-core nommée Cup était également proposée, qui était livrée avec un différentiel à glissement limité de série.