Honda a dévoilé la septième génération de la Civic en 2000, et elle était disponible en quelques formes de carrosserie, et ils ne partageaient pas trop de panneaux de carrosserie entre eux, même s’ils étaient construits sur la même plate-forme.
Certains ont considéré qu’il s’agissait d’un recul pour les constructeurs japonais puisqu’il simplifiait la suspension avant, jugée trop compliquée pour une simple berline familiale. Le constructeur automobile est passé du multilien à McPherson, qui offrait une solution efficace pour une voiture de cette taille. Heureusement, elle a conservé la suspension arrière indépendante, qui offrait un meilleur confort, notamment pour les passagers arrière.
De l’extérieur, la version à trois compartiments présentait une position plus aérodynamique avec des phares profilés et des clignotants montés dans les angles intégrés aux feux principaux. Sa hauteur était inférieure à celle des versions à hayon et juste un peu plus élevée que celle du coupé. À l’arrière, les feux arrière étaient répartis entre les panneaux de custode et le couvercle du coffre, ce qui était unique parmi ses frères et sœurs.
En raison de son empattement, il offrait suffisamment d’espace pour les jambes des passagers arrière, plus grand que dans les versions à hayon. Contrairement aux voitures à hayon, il comportait un levier de vitesses monté au sol et une console centrale prolongée jusqu’à la console centrale.
Sous le capot, la berline était proposée exclusivement avec des motorisations essence allant de 90 ch à 131 ch, selon les marchés. Une version hybride est devenue disponible en 2002.